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LE LIBÉRALISME ET SES ENNEMIS
Du triomphe du libéralisme décrit par Fukuyama aux critiques de Marx, Nietzsche et Michéa, se dessine un paradoxe : système universel ou mécanique d’aliénation, le libéralisme oscille entre promesse d’émancipation et dérive de l’homme réduit à ses intérêts.
damienclergetgurna
12 févr.29 min de lecture


PASCAL : LE COEUR ET LA RAISON
Pascal oppose à l’orgueil cartésien de la raison la certitude première du cœur : ce n’est pas la démonstration qui fonde nos vérités, mais une évidence intime qui rend possible toute raison.
damienclergetgurna
12 févr.9 min de lecture


POLITIQUE DU DÉSIR
Une « politique du désir » n’est pas l’obéissance brute aux caprices de la foule : délivrée sans mesure, la démocratie enfante la démagogie et le tyran. L’art politique consiste à hiérarchiser et guider les désirs vers la justice—favorisant l’epithumia pacifiée (le « doux commerce ») contre le thumos rivalitaire—pour viser non l’angélisme moral, mais la paix publique et l’équilibre du bien commun.
damienclergetgurna
12 févr.13 min de lecture


DELEUZE ET LES MACHINE DÉSIRANTES
Cet épisode explore la conception du désir comme puissance créatrice : loin d’être manque ou simple besoin, il est production de réalité et agencement de mondes, selon Nietzsche, Deleuze et Guattari.
damienclergetgurna
12 févr.11 min de lecture


LE DÉSIR DANS LA PHILOSOPHIE DE NIETZSCHE
le désir, à la fois menace et moteur, doit être jugé moins par l’objet que par sa force et sa constance : entre intempérance et fermeté (Sénèque), thumos à discipliner et débat Socrate/Calliclès, il prépare la critique nietzschéenne des désirs réactifs (ressentiment).
damienclergetgurna
12 févr.35 min de lecture


LA LIBIDO CHEZ SAINT AUGUSTIN
La théorie augustinienne des trois libido demeure une référence majeure dans notre compréhension du désir
damienclergetgurna
12 févr.41 min de lecture


L'AMOUR LIBRE
Sommes-nous vraiment « libres d’aimer »—libérer l’amour ou nous libérer de l’amour, entre union libre, consentement et mariage par amour ?
damienclergetgurna
12 févr.13 min de lecture


LA JUSTICE ET LA LOI : PASCAL
Et si la loi ne tirait pas sa force de la justice, mais seulement d’elle-même ?
damienclergetgurna
12 févr.9 min de lecture


AFFRONTER L'EXISTENCE
Philosopher, c’est soigner son âme dès maintenant : à tout âge, fais silence au “On” et écoute ce que le temps te demande.
damienclergetgurna
5 févr.17 min de lecture


LA TECHNIQUE
La technique : don divin qui libère, ou fardeau prométhéen qui nous condamne ?
damienclergetgurna
5 févr.23 min de lecture


ROUSSEAU : UNE VISION DE LA CULTURE
On ne naît pas humain : on le devient — par la liberté qui nous élève au-delà de l’instinct.
damienclergetgurna
5 févr.17 min de lecture


NIETZSCHE : LA SPIRITUALISATION DES PULSIONS
Et si la raison n’était que la pointe émergée — quand le corps, lui, crée en profondeur ?
damienclergetgurna
5 févr.19 min de lecture


DUALISME(S) : CORPS ET ESPRIT
Ventre, cœur, tête : qui tient vraiment les rênes — le plaisir, l’orgueil… ou la raison ?
damienclergetgurna
5 févr.16 min de lecture


LA FICTION
Entre vérité et fiction, l’affabulation tisse ce que nous croyons voir
damienclergetgurna
30 janv.18 min de lecture


LA MAUVAISE FOI : SARTRE
Le paradoxe du mensonge à soi Ce serait inconsciemment que l'illusionné s'illusionne. Mais cette explication de l'illusion est-elle satisfaisante ? Comment peut-on se cacher la vérité à la fois parfaitement "volontairement" et en même temps sans en avoir le moins du monde conscience ? Comment un acte peut-il être à la fois " volontaire " et simultanément " inconscient " ? Lorsque je respire, je le fais la plupart du temps sans avoir conscience de le faire. Mais du même cou
damienclergetgurna
30 janv.24 min de lecture


L'ART DE RÉUSSIR SES MENSONGES : ARENDT
Comment réussir ses mensonges ? Petit guide pratique pour les menteurs amateurs...
damienclergetgurna
24 janv.19 min de lecture


LA CROYANCE
Croyance et savoir Si le savoir est nécessairement savoir de la vérité (car savoir une information qui se révélerait être fausse, ce ne serait pas réellement savoir), il s'en faut de beaucoup qu'une croyance soit, elle, systématiquement fausse. On peut parfaitement croire une chose qui s'avère être vraie. Ce qui distingue le savoir de la croyance n'est donc pas le partage entre le vrai et le faux. Ce qui caractérise le savoir, écrit Platon dans le Théétète , c'est qu'il const
damienclergetgurna
24 janv.13 min de lecture


À QUOI BON, LA CONNAISSANCE ?
Adorno écrivait que "écrire un poème après Auschwitz était un acte barbare"... À quoi bon, encore, la connaissance ?
damienclergetgurna
23 janv.10 min de lecture


SAINT AUGUSTIN : L'AMOUR DU PROCHAIN
Une vertu centrée sur Autrui La vertu d'Aristote (et plus généralement la vertu telle que les grecs la concevait) était une vertu centrée sur soi, qui poursuivait un idéal d'autarkeia , d'auto-suffisance. L'homme vertueux est un héros qui n'a pas de problème relationnel, parce qu'il n'est dépendant de personne. Même l'ami est, comme dit Aristote, un « autre moi-même ». Il n'est pas un « autre que moi-même ». Je n'ai donc, s'il est vraiment mon ami, aucun besoin de le jalouser
damienclergetgurna
6 janv.4 min de lecture


LE BONHEUR ET LA BÉATITUDE
Qu'est-ce qui distingue au juste l'aspiration au bonheur (celle des philosophes grecs) de l'aspiration à la béatitude (celle des théologiens chrétiens) ?
damienclergetgurna
6 janv.5 min de lecture
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